Alain Gobert has posted an article:
Le bateau s'approche à grande vitesse de ce grand rocher qui surgit de la mer non loin de la petite ville de North Berwick. D’un blanc étincelant, le rocher est couvert de nids répartis sur les falaises. Le moindre centimètre d’espace libre est occupé par les fous de Bassan.
Ce qui impressionne le plus en arrivant près du rocher c'est le nombre d'oiseau en vol. Ils me font penser aux moucherons que l'on observe dans les rayons de lumière des sous bois. Seulement ces moucherons font tout juste un peu moins de 1m 80 d'envergure. Quel est donc le contrôleur aérien de génie qui veille aux trajet de ces planeurs au corps blanc et au bout d'aile noir ?
Le bateau est maintenant plus proche. Nous sommes à quelques mètres des oiseau. Nous pouvons les observer le temps, trop court, d'une pause agitée par les vagues. Les fous de Bassan forment un couple pour la vie.
Ils vivent la plus grande part de l'année en mer et reviennent sur le rocher de Bass en février, pondant leurs oeufs à partir de mi-mai. Les jeunes resteront sur l'île jusque septembre-octobre. Si vous croisez un de ces oiseaux aux dessus des terres, c'est qu'une tempête les y a égarer. Ces observations sont rares tant l'oiseau rechigne à survoler les terres. Nous avons la chance de les observer de près quelques minutes avant que le bateau ne redémarre pour faire, à petite vitesse, le tour de l'île et rentrer au port.
Sur le chemin du retour nous auront tout loisir d'observer ces grands oiseaux ramener des algues pour la construction du nid.
Une excursion trop brève mais vraiment intense près de ces grands oiseaux blancs et de ce rocher qui abrite un phare et les ruines d'un château et de la chapelle St Baldred, un ermite qui y mourut en 606.
Ce qui impressionne le plus en arrivant près du rocher c'est le nombre d'oiseau en vol. Ils me font penser aux moucherons que l'on observe dans les rayons de lumière des sous bois. Seulement ces moucherons font tout juste un peu moins de 1m 80 d'envergure. Quel est donc le contrôleur aérien de génie qui veille aux trajet de ces planeurs au corps blanc et au bout d'aile noir ?
Le bateau est maintenant plus proche. Nous sommes à quelques mètres des oiseau. Nous pouvons les observer le temps, trop court, d'une pause agitée par les vagues. Les fous de Bassan forment un couple pour la vie.
Ils vivent la plus grande part de l'année en mer et reviennent sur le rocher de Bass en février, pondant leurs oeufs à partir de mi-mai. Les jeunes resteront sur l'île jusque septembre-octobre. Si vous croisez un de ces oiseaux aux dessus des terres, c'est qu'une tempête les y a égarer. Ces observations sont rares tant l'oiseau rechigne à survoler les terres. Nous avons la chance de les observer de près quelques minutes avant que le bateau ne redémarre pour faire, à petite vitesse, le tour de l'île et rentrer au port.
Sur le chemin du retour nous auront tout loisir d'observer ces grands oiseaux ramener des algues pour la construction du nid.
Une excursion trop brève mais vraiment intense près de ces grands oiseaux blancs et de ce rocher qui abrite un phare et les ruines d'un château et de la chapelle St Baldred, un ermite qui y mourut en 606.