Alain Gobert has posted an article:
Lorsque nous arrivons à l'accueil du camping, une espèce de Jeep Commander arrive et se gare près de nous. En sort un homme grand et costaud, une vraie armoire à glace de plus d'un mètre quatre-vingt-dix dans des habits aux couleurs du "Wildlife Watching".
Après les salutations et les présentations de rigueur, John nous interroge sur ce que nous aimerions voir. Françoise lui demande s'il est possible d'observer le grand Tétras. Il nous répond qu'il est trop tard et qu'il est vraiment très difficilement observable en dehors de la période des combats amoureux. Comme nous n'avions pas vraiment la traduction anglaise des noms des animaux que nous aurions aimé voir, nous finissons par lui dire : "We want to see what we can see".
Pas de problème pour lui, il va nous emmener voir ce que nous avons le plus de chance d'observer. Nous montons dans le 4x4. La porte arrière gauche ne semble pas fermée. John descend du véhicule et claque la porte récalcitrante. Nous partons pour vingt minutes de trajet. Enfin, John se gare près d'un petit cimetière.
Il nous indique du doigt la cime d'un arbre. Tout en haut, un nid. Et sur le nid, un rapace. Tellement déçus la veille de n'avoir pas pu observer le Balbuzard dans de bonne condition à l'Osprey Center, Françoise et moi avons les regards qui se croisent avec un sourire qui semble dire : "John à lu dans nos pensées". Le ranger nous fait descendre un petit sentier qui mène au Loch tout près, en contrebas. De la rive nous sommes relativement proches du nid. Il faut tout de même prendre les jumelles pour observer convenablement l'oiseau qui couve.
Dans le ciel un grand oiseau s'approche. C'est un second Balbuzard. Il apporte des branches pour consolider le nid.
Après son travail d'architecte notre rapace pêcheur est dérangé par une buse. Il s'envole aussitôt pour la chasser et partir au loin.
John en bon ornitho nous signale que nous en avons vu assez et qu'il n'est pas souhaitable de rester au risque de déranger le couple d'oiseau. Les portes se ferment et le moteur redémarre pour la prochaine observation.
Après les salutations et les présentations de rigueur, John nous interroge sur ce que nous aimerions voir. Françoise lui demande s'il est possible d'observer le grand Tétras. Il nous répond qu'il est trop tard et qu'il est vraiment très difficilement observable en dehors de la période des combats amoureux. Comme nous n'avions pas vraiment la traduction anglaise des noms des animaux que nous aurions aimé voir, nous finissons par lui dire : "We want to see what we can see".
Pas de problème pour lui, il va nous emmener voir ce que nous avons le plus de chance d'observer. Nous montons dans le 4x4. La porte arrière gauche ne semble pas fermée. John descend du véhicule et claque la porte récalcitrante. Nous partons pour vingt minutes de trajet. Enfin, John se gare près d'un petit cimetière.
Il nous indique du doigt la cime d'un arbre. Tout en haut, un nid. Et sur le nid, un rapace. Tellement déçus la veille de n'avoir pas pu observer le Balbuzard dans de bonne condition à l'Osprey Center, Françoise et moi avons les regards qui se croisent avec un sourire qui semble dire : "John à lu dans nos pensées". Le ranger nous fait descendre un petit sentier qui mène au Loch tout près, en contrebas. De la rive nous sommes relativement proches du nid. Il faut tout de même prendre les jumelles pour observer convenablement l'oiseau qui couve.
Dans le ciel un grand oiseau s'approche. C'est un second Balbuzard. Il apporte des branches pour consolider le nid.
Après son travail d'architecte notre rapace pêcheur est dérangé par une buse. Il s'envole aussitôt pour la chasser et partir au loin.
John en bon ornitho nous signale que nous en avons vu assez et qu'il n'est pas souhaitable de rester au risque de déranger le couple d'oiseau. Les portes se ferment et le moteur redémarre pour la prochaine observation.